À la suite de l’événement, une deuxième table ronde qui porte sur le rôle de l’entreprise face aux besoins environnementaux. Autour de la table, Charlie Tronche de Helloasso, Pascale Guiffant de Openlande et Anne Billiet de Fly The Nest.
Depuis quelques années, les entreprises peuvent être qualifiées d’ESS (Entreprise d’Économie Sociale et Solidaire) ou agréées ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale). Avant réservées aux associations, ces qualifications ouvrent aux entreprises les portes d’une économie à impact positif. Même si celles-ci apportent un statut juridique, “on ne monte pas un projet pour un label”, selon Pascale Guiffant. En effet, elles ne vont pas changer l’entreprise si sa mission est d’ordre positif à sa base. Il est important de “transformer la culture de l’entreprise avant de cocher des cases”.
Le rôle de l’entreprise dans un futur plus responsable reste déterminant : “il ne faut pas attendre que cela vienne d’en haut” selon Charlie Tronche. Elles sont redevables de l’écosystème et l’impactent, positivement ou négativement.