La pollution de nos appareils électroniques vient aussi de leur fin de vie. Les déchets électroniques et électriques (DEEE) sont destinés à être recyclés car se sont une mine de ressources réutilisables. La France et l’Union européenne se sont d’ailleurs engagées à recycler ces déchets et en ont interdit l’exportation. Cependant, il y a un problème : seul 40% des DEEE sont recyclés dans l’UE. Où vont donc les 60% restants ?
Ce documentaire nous montre que la fin de vie de nos appareils ouvre la voie d’un grand trafic. En fin de vie, une partie de nos appareils sont recyclés : ceux que nous ramenons en magasin ou en décharge. Une autre partie, les appareils laissés sur le trottoir ou volés dans les déchetteries, finissent dans des pays peu développés, comme en Afrique. C’est le sort d’un appareil sur deux en France.
Dans le deuxième cas, les appareils électroniques sont démantelés pour récupérer les métaux précieux puis brûlés dans des décharges à ciel ouvert. L’impact environnemental est alors gigantesque. En effet, si la phase de démantèlement ne se fait pas correctement, les substances chimiques et les gaz toxiques de nos appareils s’échappent, polluant les sols et l’air. Au-delà d’être un problème écologique, il est aussi humain. Lors du traitement, les émanations des métaux lourds comme le plomb, le mercure et le cadmium entraînent des lésions neurologiques et des cancers à toute population voisine.
En 2016, les déchets électroniques et électriques représentaient 44,7 millions de tonnes, l’équivalent de 9 pyramides de Gizeh.
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